Le pitch

Rabattre une fois pour toutes le caquet de son beau-frère Homéopatix : voilà ce dont rêve depuis longtemps Abraracourcix. Au cours d'une soirée bien arrosée chez ce lutécien arrogant, le chef gaulois promet de servir à son ennemi intime un ragoût parfumé avec la couronne des lauriers de César.

Et bien sûr, ce sont Astérix et Obélix qui pâtissent des caprices de leur chef ! Les voilà donc à Rome pour tenter de mener à bien cette mission impossible : ramener au Village les lauriers de César !

Mon avis

18e tome des aventures d'Astérix et Obélix, publié en 1972.

Il s'agit, soyons franc, d'un des Astérix écrit par Goscinny parmi les moins intéressants.

Il n'y a pas véritablement d'histoire, et l'on passe d'une scène à l'autre sans ligne narrative directrice.

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Un signe : en le relisant, je n'ai trouvé aucune scène ou gag susceptible de rester vraiment en mémoire, dans mon "Panthéon d'Astérix".

Même si, je dois l'avouer, l'image d' Obélix bourré vaut son pesant de cacahuètes !

"Farpaitement" !!!

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Mais cela reste bon enfant et le dessin d'Uderzo est toujours là, impeccable, inaltérable.

Conclusion : n'hésitez pas, si vous avez le choix entre un "faux" Astérix dernier modèle et Les lauriers de César, achetez ce dernier !