La huitième couleur
La huitième couleur
Le pitch
Dans une dimension lointaine et passablement farfelue, un monde en forme de disque est juché sur le dos de quatre éléphants, eux-mêmes posés sur le dos d'une tortue.
À Ankh-Morpork, l'une des villes de ce Disque-Monde, les habitants croyaient avoir tout vu. Et Deuxfleurs avait l'air tellement inoffensif, bonhomme chétif fidèlement escorté par un Bagage de bois magique circulant sur une myriade de petites jambes.
Tellement inoffensif que le Praticien a chargé le calamiteux sorcier Rincevent de sa sécurité dans la cité quadrillée par la guilde des voleurs et celle des assassins , mission périlleuse et qui va les conduire loin : dans une caverne de dragons et peut-être jusqu'aux rebords du disque.
Car Deuxfleurs appartient à l'espèce la plus redoutable qui soit : c'est un touriste...
Mon avis
Terry Pratchett nous a quitté en 2015.
Il restera comme un auteur à part dans la Fantaisy, l'homme qui a su mettre à profit son incroyable sens de l'humour et son imagination totalement démesurée au service d'un genre qui se prend, malheureusement, souvent beaucoup trop au sérieux.
La huitième couleur est le premier tome de la saga du Disque-monde, qui nourrira Pratchett pour le reste de sa vie (plus de trente volumes).
Il y pose toutes les bases de son univers, qui n'est pas piqué des vers, comme vous pourrez le lire dans le pitch assez délirant.
Pour le lecteur, ça passe ou ça casse.
Il y a des fans absolus de Pratchett. Je n'en fais pas partie, car, après deux tomes de la saga, j'ai préféré ne pas continuer.
Ce premier tome, par contre, était vraiment à mourir de rire, malgré les faiblesses dans la construction et la narration, et je vous conseille d'essayer, cela vaut vraiment le coup!
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