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Lorsqu’on est français, être passionné par la mode parait presque le résultat d’une prédestination génétique, tant la France est considéré, dans le monde entier, comme le pays de la mode.
Le pays où naquirent et vécurent Paul Poiret, Coco Chanel, Christian Dior, Yves Saint-Laurent et Jean-Paul Gauthier – pour n’en citer que quelques-uns -, a aussi été le pays natal de certains des plus grands photographes du monde. Un merveilleux relais pour un domaine où le visuel joue un rôle primordial.
La mode est-elle un art à part entière ? Certains se battraient jusqu’au sang pour défendre cette opinion !
Grâce à quelques éditeurs et des journalistes passionnés, spécialisés dans le « beau livre », je vous propose une sélection de livres qui traitent de ce sujet. Que du très beau, très lourd, de l’impressionnant !
Beaux livres de grands photographes, monographies sur de célèbres couturiers : le vêtement est ici à l’honneur mais aussi les accessoires : bijoux, montres, barbes… de quoi s’en mettre plein les mirettes, comme autant d’idées de cadeaux pour les passionnés.
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Mode : les plus beaux livres, pour le plaisir des yeux !
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American Dior – Kate Betts
Assouline – 170 pages – 200 €*
Le pitch : En 1957, Christian Dior a été désigné » Dictator by Demand » de la mode parisienne dans un article du Time magazine, dix ans après le lancement par le couturier de son « New Look » qui a révolutionné la mode féminine avec sa silhouette extravagante et ravivé l’industrie américaine du textile d’après-guerre.
Essai pétillant de la journaliste de mode Kate Betts, illustré par les images époustouflantes d’Irving Penn et Richard Avedon, American Dior décrit le lien particulier qui unit la maison de couture et les Etats-Unis, et la façon dont le couturier français est devenu synonyme de luxet et d’élégance en Amérique.
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Mon avis : Un livre sur Christian Dior et l’Amérique, illustré en couverture par une magnifique et célébrissime photo de Marilyn Monroe par Bert Stern : voilà l’ouvrage qu’il vous faut, madame, monsieur, pour autant que vous soyez passionné par la mode, la photo, les stars, l’industrie du luxe, le monde des années 50 (rayez les mentions inutiles).
Après avoir parcouru durant l’été 2017, émerveillé, bouche bée, l’époustouflante exposition consacrée à Christian Dior au Musée des arts décoratifs, j’ai ressorti de ma bibliothèque ce grand (34 et 26 cm) et beau livre à l’édition particulièrement soignée (le grammage du papier glacé est impressionnant et le vivre pèse bien trois kilos !) pour m’y replonger avec délice.
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Un siècle de mode – Catherine Ormen
Larousse – 128 pages – 29.95 €
Le pitch : Cet ouvrage offre un panorama original et chic des plus grandes Maisons françaises mais aussi espagnoles, japonaises, anglaises, etc.
Voyagez à travers Un siècle de mode et revivez la saga de ces créateurs éternels. Grâce à de nombreuses et magnifiques photos et à de nombreux fac-similés variés et précieux, découvrez leurs modèles emblématiques, leurs techniques, leurs sources d’inspiration, leurs secrets de fabrication, etc.*
Mon avis : Chez Larousse, voici la réédition d’un très bel ouvrage, une sorte de dictionnaire de la mode organisé autour des noms des grands créateurs.
Cet ouvrage a été créé par Catherine Ormen, une passionnée et une grande professionnelle reconnue de la mode.
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La mise en page est superbe, les illustrations aussi.
Le gros plus, c’est que vous y trouverez de superbes fac-similés parmi lesquels une lettre de Coco Chanel,
Steichen – Carnet mondain – W. Ewing & T. Brandow
Thames & Hudson – 288 pages – 37.00 €
Le pitch : Edward Steichen est déjà un peintre et un photographe célèbre des deux côtés de l’Atlantique lorsqu’il se voit proposer en 1923 un poste des plus prestigieux : directeur du service photographique de Vogue et Vanity Fair, les magazines de référence édités par Condé Nast.
Durant les quinze années suivantes, Steichen va mettre son talent exceptionnel au service d’une mise en scène grandiose de la culture de son temps, immortalisant les grands noms de la littérature, du journalisme, de la danse et du sport, de la politique, de la musique, du théâtre et du cinéma, mais encore et surtout les plus belles créations des grands couturiers de l’époque. Ces années marqueront le sommet de la carrière photographique de Steichen.
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Mon avis : Pour les amateurs de photo, Edward Steichen n’est pas n’importe qui. Loin de là. Né en 1879, il fut, après une carrière de peintre, un des grands photographes du début du siècle. Accompagnant l’explosion de la photographie en noir et blanc, il devient après la première guerre mondiale un artiste reconnu de tous.
Sa carrière culmine entre 1923 et 1935 où, grâce à Condé Nast, le propriétaire de Vanity Fair et Vogue, qui lui offre le poste de directeur photo des deux magazines de mode.
C’est cette période que retrace cet éblouissant album, publié en 2008 à l’occasion d’une exposition à Lausanne.
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Greta Garbo
La grande histoire de la mode – Caryn Franklin
Larousse – 406 pages – 39.00 €
Le pitch : Les plus grands créateurs d’aujourd’hui n’ont eu de cesse de puiser leur inspiration dans le passé et de réinventer le style et la silhouette. De la Renaissance au siècle de Louis XIV, de la Belle Époque au style pop et disco des années 70 et 80, un véritable panorama de la mode est dressé.
Ce livre magnifiquement illustré revient ainsi sur les grandes périodes ayant marqué la mode, décrypte l’apport des grands créateurs et créatrices, de Elsa Schiaparelli à Gabrielle Chanel, de Hermès à Gaultier en passant par Vivienne Westwood et Alexander McQueen.
On trouvera dans cette bible de la mode : _ des focus sur les grands créateurs et leurs plus beaux défilés_ des pièces iconiques _ une chronologie replaçant chaque créateur dans son époque_ un point de vue international (le style asiatique, japonais, britannique…). Une véritable plongée dans les coulisses de la création et de la mode, d’hier et d’aujourd’hui !
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Mon avis : A l’approche des fêtes, comment ne pas saluer la sortie de cette magnifique encyclopédie de la mode !
Une somme – 400 pages bourrées jusqu’à la gueule d’informations, d’illustrations et d’infographies sur le sujet, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours.
Une référence et une réussite totale (quelle magnifique mise en page !)
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Man Ray et la mode – Collectif
RMN – 248 pages – 39.90 €
Le pitch : C’est en 1922, alors qu’il vient d’arriver à Paris, que Man Ray fait ses premiers pas dans la photographie de mode. Il réalise alors de nombreux portraits de figures marquantes d’un milieu parisien mêlant membres de la a colonie américaine, représentants de la bonne société, artistes, écrivains… Il bénéficie assez vite de commandes dans le domaine de la publicité et de la mode en raison de son style aisément identifiable, celui du groupe surréaliste, qui joue à merveille du scandale et de la provocation. Son travail parfaitement maîtrisé, tempéré par un classicisme de bon ton, pimenté par un érotisme lisse génère des images pleinement assimilables par ses commanditaires.
Au tournant des années 1930, Man Ray évolue vers un style plus spontané, conforme à l’évolution du modèle féminin que des artifices techniques – solarisation, inversion négative, découpage, superpositions – mettent brillamment en valeur. Les années passées sous contrat avec le magazine américain Harper’s Bazaar (1934-1939) consacrent la liberté technique et formelle du photographe et marquent son apogée dans ce domaine.
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Mon avis : Plus les années défilent, plus il est évident que Man Ray n’a pendant longtemps pas été estimé à sa juste valeur, qui est immense.
Il s’impose désormais comme un artiste incontournable, un créateur majeur de l’entre-deux guerres. Et c’est bien entendu son oeuvre de photographe qui restera, avant tout, tant il a su créer, inventer, parfois révolutionner la technique et les thèmes, avec des influences sur la photographie contemporaine absolument incomparables.
L’ouvrage que je vous propose ici est publié à l’occasion de la vaste exposition qui lui consacré au tournant des années 2019-2020 à Marseille, puis à Paris.
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Peggy Guggenheim
All about Yves – Catherine Ormen
Editions Larousse – 45 €*
Le pitch : Plongez dans la vie de ce grand couturier, depuis sa plus tendre enfance, jusqu’à la conservation de son œuvre aujourd’hui, sans oublier ses relations, ses influences…
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Mon avis : Si, au cours de votre vie, il vous êtes arrivé de ressentir une certaine fascination pour la mode, et plus précisément pour la Haute Couture (avec des majuscules), vous ne pouvez qu’avoir un regard particulier sur Yves Saint-Laurent, le couturier de tous les talents et tous les fantasmes.
Ce bel album est un véritable hommage au créateur, mais aussi à l’homme. On sent que Catherine Ormen, une vraie spécialiste de la mode (voir aussi son livre sur cent ans de mode) connait profondément son sujet.
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Elle parle de ses débuts, ses influences, puis, plus tard, de ses « inventions » (comme le célèbre tailleur pour femme) et de l’influence qu’il a pu avoir à son tour sur les autres couturiers. Sans oublier une large part du livre consacré à sa vie privée et sa relation avec Yves Berger.*
Les années Vogue – Robert Doisneau
Flammarion – 356 pages – 49.90 €*
Le pitch : « En résumé, mon emploi à Vogue pouvait se diviser en trois volets.
D’abord la vie à Paris, sorte de trombinoscope de ceux dont les noms devaient absolument alimenter les conversations : artistes, écrivains, créateurs de toutes sortes. Ensuite les photographies de mannequins dans les décors de la ville ou sur le redoutable fond blanc du studio. Enfin, le troisième volet, les mondanités, est celui qui m’a laissé les souvenirs les plus durables » Robert Doisneau
En 1949, Michel de Brunhoff, qui dirige le magazine Vogue, passe un contrat d’exclusivité avec Robert Doisneau. De 1949 à 1952, il couvrira l’actualité mondaine, fera quelques photos de mode et réalisera des reportages pour raconter la vie en France, accompagné d’Edmonde Charles-Roux, sa rédactrice attitrée.
Leur complicité est grande mais la vie de « photographe mondain » ne convient pas à Robert Doisneau qui reprend sa liberté à l’échéance du contrat.
Mon avis : A l’occasion de l’exposition Robert Doisneau présentée à l’Espace Richaud, durant le deuxième semestre 2017, les Editions Flammarion ont eu l’excellente idée de publier ce magnifique ouvrage consacré à un aspect relativement peu connu de l’oeuvre d’un des grands plus grands photographes français.
Cet album consacré au Doisneau photographe de mode, photographe mondain est tout simplement saisissant, tant les très nombreuses photographies présentées sont exceptionnelles.
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En refermant ce livre impressionnant publié dans un format plus que généreux (le livre fait 32*25 cm et près de trois kilos !), on se prête à rêver : quels clichés étonnants l’homme aurait-il réalisé s’il était resté sur cette veine de représentation du futile ?
Joyaux et pierres précieuses
Editions Larousse -360 pages – 34.95 €
Le pitch : Explorez l’univers fascinant des pierres fines et précieuses et de leurs multiples facettes.
Du célèbre Koh-i Noor au maudit Hope, laissez-vous conter l’histoire de ces joyaux de légende, admirez leur incroyable beauté et découvrez les mystérieux pouvoirs et vertus qui leur sont attribués depuis l’Antiquité. Un voyage inoubliable
Mon avis : Si vous cherchez un ouvrage vraiment complet, quasi exhaustif, sur les pierres précieuses, je vous ai déniché l’oiseau rare (c’est le cas de le dire…) !
Entre joaillerie, gemmologie, minéralogie et géologie, l’album contentera l’amateur le plus exigeant : fiches scientifiques, photos de pierres taillées et montées en bijoux, éléments d’histoire de l’art et de la bijouterie… une véritable mine d’or, dans une mise en page claire et élégante.
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Montres rares – Paul Miquel
Editions Grund – 69 €*
Le Pitch : La SuperComplication Henry Graves est la montre mécanique construite sans l’aide d’ordinateur la plus complexe au monde.
Commandée par le banquier dont elle porte le nom cette montre en or 18 carats a nécessité trois ans de recherche pour sa conception et cinq ans pour sa fabrication. Cette montre finalisée en janvier 1933 possède 24 fonctions différentes dont une carte du ciel de New York… vue de l’appartement de Graves sur la Cinquième Avenue !
Elle a été vendue aux enchères en 2014 pour la modique somme de 24 millions d’euros. Depuis d’autres montres ont battu ce record, dont certaines figurent dans ce livre qui présente une sélection de stars des enchères, des pépites de la haute-joaillerie et des montres de héros.
Mon avis : Vous aimez les montres de l’extrême ? Celles qui sont si rares ou si chères (les deux vont souvent de pair…) que vous savez, au premier regard, que vous n’aurez jamais, jamais aucune chance de vous en offrir une ? Oui ? Eh bien alors, ce livre est pour vous !
La Breguet de Marie-Antoinette
Il comblera, en effet, une petite partie de votre frustration, en vous faisant toucher du doigt, grâce à de magnifiques photos grand format (les dimensions de l’ouvrage sont plus que généreuses : 30*39, avec un grammage de papier élevé, c’est un ouvrage de poids), mais aussi un texte dense et bourrée d’informations, les tocantes de vos rêves.
Les paradis secrets d’Yves Saint laurent et de Pierre Bergé
Robert Murphy – Albin Michel – 250 pages – 85.00 €
Le pitch : Yves Saint Laurent et Pierre Bergé. La quintessence du goût français. Deux esprits visionnaires qui ont créé une collection unique au monde. Les résidences qui abritèrent ces trésors étaient des œuvres d’art à part entière, un univers féerique où se mêlaient styles, époques et continents, où chaque pièce, chaque objet racontaient une histoire.
Avec une fièvre partagée, ils ont aimé les bronzes de la Renaissance; l’Art déco, les tableaux de Matisse, Géricault ou Warhol, les palais arabes, les datchas russes, les salons viscontiens, les bibliothèques où s’alignent éditions premières et incunables collectionnées depuis toujours par Pierre Bergé, les jardins normands hantés par l’ombre de Marcel Proust… De Paris à Tanger, de Deauville à Marrakech, les portes de ces paradis secrets s’ouvrent pour vous. Une dernière fois.
Mon avis : En 2009, moins d’un an après la mort d’Yves Saint Laurent, son compagnon d’une vie Pierre Bergé met en vente la quasi totalité du mobilier (meubles meublants et oeuvres d’art) des propriétés occupées par le grand couturier.
La vente se tient en plusieurs journées. Qualifié de « vente du siècle », elle rapporte la somme fabuleuse de 373 millions d’euros, justifiant largement ce qualificatif !
Le livre composé par Robert Murphy et édité par Albin Michel à la même époque n’est pas un catalogue de cette vente mais, – beaucoup plus intéressant – un splendide, somptueux « état des lieux » de la vie de Saint Laurent et Bergé.
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Après une préface de Pierre Bergé, le livre – un très lourd objet au très grand format presque carré – présente une longue introduction de l’auteur puis, sept chapitres recensant les diverses propriétés du couple.
Fastes occidentaux de maharajahs – Amin Jaffer
Citadelles et Mazenot – 275 pages – 60.00 €
Le pitch : La fascination des maharajahs pour l’Occident et ses produits de luxe trouve ses origines dans l’histoire coloniale de l’Inde. C’est sous la domination britannique que cet engouement prit toute son ampleur. Les princes, voyageant désormais en Europe, prirent goût aux raffinements d’un savoir-vivre nouveau, et eurent tôt fait de s’approprier ses modes de vie et ses attributs les plus sophistiqués. Symboles de puissance et de majesté, bijoux inestimables, habits d’apparat, palais somptueux, mobiliers précieux ou voitures modernes confortaient en apparence une souveraineté, de fait affaiblie par l’occupant. Ainsi commandes et achats prestigieux offrirent aux grandes maisons de luxe des épisodes éclatants de leur histoire.
En explorant les archives de ces maisons comme les collections palatiales et privées, l’auteur met au jour le rôle exercé par les maharajahs en des temps où ils pouvaient dépenser sans compter. Pour la première fois est relaté le dialogue créatif établi jadis entre les maharajahs et les commerçants qui s’ingénièrent à les contenter. Truffé d’anecdotes et richement illustré, ce livre redonne vie à des créations aussi somptueuses qu’inventives, parfois mémo délirantes, répondant aux désirs de ces princes aux extravagances légendaires.
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Mon avis : Qui n’a jamais avoué sa fascination pour la magnificence du monde traditionnel des maharajahs, désormais disparu ? En tous cas, pas moi !
Depuis mes premières lectures sur l’Inde, les romans de Kipling, de Forster, ou la traversée du merveilleux et torrentueux Pavillons lointains de M.M. Kaye, je n’ai jamais cessé de m’intéresser à cette Inde traditionnelle qui, peu à peu, se verra littéralement digérée par l’empire britannique, au point de perdre son identité propre.
C’est un peu de tout cela que nous montre et nous raconte le fascinant livre d’Amin Jaffer, un magnifique album au format impressionnant, presque carré (30*26 cm et près de 3 kilos pour 300 pages d’un épais papier glacé).
Barbes, boucs, moustaches et autres favoris – Sarah Daniel
Cernunnos – 288 pages – 39.95 €*
Le pitch : Des barbes des philosophes antiques jusqu’aux barbes fleuries des hippies, du poil dru des grands guerriers au poil sophistiqué des dandys, depuis toujours, le poil fait sens.
Signe d’autorité ou de vulgarité, de virilité ou de frivolité, les définitions que leurs ont donné les hommes, et les femmes, n’ont cessé d’évolué au fil des siècles et au gré des continents.
Barbe bleue, comme le violent héros du conte de Perrault. Barbe noire, comme le plus terrible pirates de tous les temps. Barbe fleurie comme on surnommait l’empereur Charlemagne. Barbe blanche comme celle du Père Noël…
Mon avis : Il y a un temps, pas si lointain que cela, où porter la barbe était un summum de la ringardise. Au mieux, un attribut vieillot, démodé; au pire, une faute de goût.
Mais comme les modes vont et viennent, il a bien fallu qu’un jour, la pilosité naturelle revienne s’installer sur les joues de nos compatriotes et les rues de nos capitales ressembler à une photo tirée des meilleures moments de la III° république.
Chez certains, la barbe est un moyen de s’affirmer, de se viriliser, de s’améliorer (halte aux mentons fuyants !). Chez d’autres, c’est un élément complémentaire de beauté et de séduction.
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En tous cas, difficile de rester indifférent devant ce déferlement de poils, plus ou moins taillés et domestiqués. Quand c’est plus, c’est chez le barbier qu’il faut se diriger.
Mais cette profession, un temps presque disparue, à sa plèbe et son élite; et dans l’élite, il y a la reine, Sarah Daniel.
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